Les membres pros Ingénieur agronome
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Caroline A.
Coach
Iris A.
Ingénieure agronome
Delphine g.
Ingénieure agronome
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Directeur / responsable commercial
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Conseiller agricole
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Ingénieure agronome
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Ingénieure agronome
Gerardo A.
Ingénieur agronome
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Directrice / Responsable du marketing
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Ingénieure agronome
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Ingénieur agronome
Les membres jeunes intéressés par ce métier
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Les formations pour devenir Ingénieur agronome
Diplôme d'ingénieur de l'Institut d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement 1
Diplôme d'ingénieur de l'École nationale supérieure des sciences agronomiques de Bordeaux Aquitaine 1
Diplôme d'ingénieur de l'École nationale supérieure agronomique de Toulouse de l'INP de Toulouse 1
Diplôme d'ingénieur de l'Institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement (AgroParisTech) 1
Master agrosciences, environnement, territoires, paysage, forêt 1
Master biologie, agrosciences 1
Diplôme d'ingénieur de l'Institut national supérieur des sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage spécialité agronomie 1
Diplôme d'ingénieur de l'École nationale supérieure d'agronomie et des industries alimentaires de l'université de Lorraine spécialité agronomie 1
Diplôme d'ingénieur de l'Institut Polytechnique UniLaSalle spécialité agronomie et agro-industries 1
Diplôme d'ingénieur de l'Institut national d'études supérieures agronomiques de Montpellier spécialité agronome à vocation générale 1
Génétique, nutrition, alimentation humaine et animale, microbiologie ou encore virologie… Quelle que soit sa spécialité, l’ingénieur agronome poursuit un seul et même objectif : améliorer les techniques de productions pour développer une agriculture compétitive, durable et sûre. Médiateur entre la science et le monde agricole, il peut travailler, par exemple, à l’amélioration de la résistance d’une céréale ou à la création d’une nouvelle machine agricole.
Selon sa fonction, il travaille sur le terrain ou en laboratoire, auprès d’une chambre d’agriculture, à l’INRA (Institut national de la recherche agronomique), au CNRS (Centre national de la recherche scientifique), dans un laboratoire privé, ou chez un industriel de l’agroalimentaire.