HAPPY JOBIRL
– 14h30 à 16h30 : Mini-conférences
– 16h30 à 17h30 : Speed-meetings
Pour les 1ères :
– 15h30 à 17h30 : Speed-meetings
Découvre les pros du forum des métiers
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime particulièrement interagir avec plein d’équipes et de métiers différents, en région, à l’international, avec les commerciaux, avec l’équipe de management…
Au quotidien, j’apprécie manier des chiffres pour leur donner du sens, comprendre de quoi ils dépendent, comprendre leur évolution et les expliquer.
J’aime aussi réfléchir aux budgets et à la planification : en me basant sur des chiffres actuels ou passés, j’essaye de « prédire l’avenir », d’une certaine façon, ou plutôt de modéliser et de réfléchir aux objectifs que l’entreprise pourra essayer d’atteindre les années suivantes.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Pour beaucoup de personnes, la Finance se résume à l’aspect financier, à porter un costard-cravate, à être coté en Bourse… alors que c’est un secteur bien plus vaste que ça !
La Finance, c’est aussi les équipes commerciales et comptables de quasi-toutes les entreprises, des personnes qui soutiennent des projets, qui touchent à énormément de métiers différents, qui aident à analyser des situations compliquées à partir des revenus de l’entreprise, en trouvant les bons leviers pour changer les choses…
C’est cette réalité-là, beaucoup plus concrète et qu’on n’imagine pas forcément, qui me passionne et que j’aimerais partager avec les jeunes.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Mon parcours a été chaotique ! A votre âge, je ne savais pas ce que je voulais faire. J’ai bossé dans des secteurs différents, j’ai été bénévole dans des festivals, j’ai entamé des études de médecine puis changé de voie pour reprendre des études à l’université, en parallèle j’ai fait beaucoup de stages en communication, en banque… progressivement, j’ai découvert la finance, et me suis finalement réorienté à nouveau, pour faire un master dans la Finance à Sciences Po et m’épanouir là où j’en suis aujourd’hui.
Finalement, il n’y a pas « telle ou telle voie qui mène vers tel métier » : il y a toujours moyen de se réorienter et de trouver ce qu’on aime.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’exerce un métier d’observation, mais il y a aussi un côté créatif puisque je crée des projets et je dois aussi réinventer, imaginer. C’est un métier vivant, quand on se promène dans la ville en tant qu’architecte, on voit ce qu’on fait. J’ai choisi l’architecture car j’aimais regarder la ville, mais je n’avais pas la fibre créative. En revanche, j’étais douée dans le relationnel, c’est pourquoi je suis maintenant dans le conseil.
J’aime aussi la reconnaissance dans le monde du BTP, si on travaille bien, nos compétences sont reconnues et sont recherchées par des entreprises.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Le métier d’architecte c’est 5ans après les études, c’est donc des études longues, mais il y a aussi d’autres métiers qu’on peut démarrer plus rapidement comme dans la conduite de chantier et puis au fur et à mesure prendre en responsabilité. Je peux mettre en relation les jeunes avec des partenaires pour qu’ils puissent découvrir concrètement les métiers du BTP.
Quand j’étais jeune j’avais besoin de concret, l’alternance est très bien pour ça. J’avais déjà intégré des agences d’architecture, alors que j’étais encore étudiante. C’est un monde dans lequel on peut rapidement se créer un nom.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Lors de mon premier chantier, des collègues m’ont fait monter sur une échelle de 2 étages pour voir mon courage.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
Tout d’abord, j’aime la fibre littéraire dans mon métier, et devoir manier la dextérité des mots et du langage. Je dois écrire et convaincre à l’oral. Ensuite, j’aime découvrir les projets des clients et réfléchir en quoi je peux leur être utile. Je dois trouver une solution efficace pour leur permettre d’obtenir ce qu’ils souhaitent tout en protégeant leur intérêt.
J’aime aussi beaucoup l’aspect humain, je ne travaille pas derrière mon ordinateur, j’ai l’opportunité de rencontrer de nombreuses personnes, les clients mais j’ai aussi l’occasion de monter des équipes, les former, recruter…
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Je veux rendre compréhensible ce qu’est la profession d’avocat aujourd’hui, qui est très éloignée de l’image ancienne qu’ont les jeunes de ce métier. On pense souvent aux prisons, au pénal, aux procès mais l’avocat est aussi un acteur de l’économie. On apprend aussi aux entreprises ce qu’elles ont le droit et pas le droit de faire, on les aide à être efficaces dans leur projet.
Dans mon métier il y a un aspect international, j’ai pu avoir une activité aussi intéressante car j’ai décidé de partir à l’étranger. Si j’étais restée collaboratrice du cabinet à Paris je n’aurais pas eu la liberté de constituer mon équipe, ça m’a permis d’accélérer la progression de mon travail et ça a rendu ma mission d’autant plus intéressante. J’ai vécu 22 ans à Shanghai, je suis rentrée en France il y a un an et demi.
Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Un jour j’ai été confrontée à un client français et la négociation n’avançait pas car les clients n’arrivaient pas à s’entendre. Le client chinois a commencé à s’énerver en nous disant que c’était à cause de moi que les discussions n’avançaient pas car je n’avais pas transmis correctement les courriers entre les deux parties. Et j’ai réussi à me défendre et à me fâcher en chinois ce qui a beaucoup étonné le client.
J’ai réalisé que j’avais pris en maturité et que j’avais pris confiance en moi.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime la diversité des métiers, il y a plusieurs métiers dans un seul métier. Ma mission principale est de protéger les personnes mais je le fais de différentes manières.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’aime l’importance de la police dans la société. Je voudrais faire connaître la police aux jeunes, nous avons plus de 350 métiers. On a différents modes de recrutement avec ou sans diplôme, on est donc ouverts à tous. Le but de mon métier est la protection des institutions, des personnes et des biens.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime travailler à l’international, même si c’est à distance et en virtuel, cela reste une expérience très enrichissante pour moi. C’est une rencontre avec d’autres cultures, différents modes de vie, j’ai vraiment appris de nouveaux codes sociaux et l’ouverture au monde. Cela m’a aussi permis de pratiquer des langues étrangères, et j’en suis très heureuse car j’adore les langues.
L’aspect international de mon métier est aussi très challengeant car il implique une adaptation constante aux autres.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai fait un BTS Tourisme, j’ai donc un bac+2 et mon expérience s’est faite essentiellement sur le terrain. J’ai travaillé en agence de voyage, notamment dans des agences spécialisées en voyage d’affaires. J’ai ensuite travaillé dans des entreprises du CAC40 en tant que “travel manager” qui est en lien avec tous les voyages professionnels.
Maintenant je paramètre les logiciels selon les besoins des clients, toujours en contact avec les “travel manager”.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Je suis maman d’une élève de 1ère au Lycée et j’ai moi-même été scolarisée au sein du Lycée de la Plaine de Neauphle il y’a 25 ans de cela. Je courais tous les jours pour attraper mon bus.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
Jusqu’à présent j’ai beaucoup voyagé autour du monde, notamment en Asie et au Moyen Orient. J’aime vraiment convaincre les autres, c’est un point très important dans le commerce puisque mon but est de faire de la vente. Et dans cette dimension internationale, j’aime m’apercevoir que nous sommes étrangers mais nous gardons un socle commun.
Je vendais des chaînes de télé, mais les modes de consommation évoluent, on regarde moins la télé mais plus souvent des vidéos donc mon métier évolue aussi.
J’ai déjà vendu du cinéma, des chaînes de sport, de la musique.
On doit aussi réfléchir à comment intégrer les évolutions technologiques.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
L’audiovisuel attire beaucoup les jeunes, mais j’ai envie d’encourager les jeunes à parler les langues étrangères, à bouger et franchir les frontières. Il ne faut pas se restreindre, on peut faire de belles carrières en France mais c’est aussi enrichissant de découvrir de nouvelles cultures.
J’ai fait des études de lettres en classe préparatoire (hypokhâgne et khâgne). J’ai ensuite fait de l’histoire et des sciences politiques en fac et du droit. J’ai terminé par un master spécialisé en média ce qui m’a ouvert les portes de l’entreprise, sinon j’avais un profil très universitaire avec des études très théoriques. Je n’ai donc pas fait d’études de commerce concrètement.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Quand j’avais 20 ans, j’ai fait un stage de 2 mois en Allemagne chez une personne qui faisait de l’import/export dans le bois. Il parlait 6 langues et avait une grande capacité à s’adapter, ce qui m’a beaucoup fasciné et m’a donné envie de faire du commerce. J’ai beaucoup aimé cette expérience à l’étranger, sortir de son pays, faire de nouvelles rencontres.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
Ce que j’aime le plus dans mon métier c’est d’aider le client. Les objectifs de mon métier : Aider le client, l’intérêt du client. Il faut être sérieux, connaître son produits évidemment, mais il faut aussi être sincère avec son client, c’est-à-dire que si je sens que mon client n’a pas besoin de mon produit, je dois lui dire et être honnête avec lui.
Ça crée un bon souvenir chez le client mais aussi de la vente finalement.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai voulu être agriculteur, vétérinaire puis j’ai fait un BTS travaux publics mais ce n’était pas du tout ce qu’il me plaisait. J’ai ensuite suivi une formation de commercial et dans la vente, qui ne m’a pas beaucoup plu mais j’ai pu apprendre les bases du métier.
Après avoir quitté le bâtiment j’ai intégré le secteur des télécommunications, social, tourisme, hotellerie. J’ai ensuite aidé plusieurs start-ups. J’ai donc connu différents domaines d’activité.
Aujourd’hui je suis indépendant dans le domaine de l’éducation car je travaille avec les écoles, je travaille aussi dans le carton recyclé, je fais de la promotion dans l’écologie. Parallèlement, j’appartiens à la fondation Maj qui travaille sur les nouveaux territoires, tout est fait pour les citoyens, dans un esprit durable. Ma fonction est dans la communication, je synthétise et je transmets.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Dans les 90’s, quand je travaillais dans les télécommunications, je travaillais dans une petite entreprise qui louait des téléphones portables. À l’époque, les étrangers qui arrivaient en France étaient obligés de louer un téléphone avec une ligne française. On travaillait avec les compagnies aériennes, les hôtels, l’évènementiel etc..
Un jour, un grand hôtel 5étoiles nous appelle car le fils d’un émir voulait un téléphone, j’y suis donc allé avec tout le matériel nécessaire. Je me présente dans la chambre du fils de l’émir, il était entouré de nombreuses personnes, je fais le contrat de location, je lui demande sa carte bancaire pour qu’il puisse faire une caution de 15 000 Francs. Mais sa carte bancaire ne passe pas. On essaie avec une autre carte bancaire qui ne passait pas non plus. J’ai donc refusé qu’il loue le téléphone, même s’il devait certainement avoir beaucoup d’argent. En tant que commercial j’ai donc su refuser et faire mon métier, malgré l’importance du client qui était en face de moi.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime être en contact avec les gens, les clients, de pouvoir échanger avec eux et de devoir être à l’écoute. Je dois essayer de les comprendre et leur proposer la meilleure solution.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai été commerciale dans 3 domaines complètement différents : l’immobilier, la communication presse et enfin les Ressources Humaines. C’est un seul métier mais aujourd’hui une entreprise a toujours besoin d’un commercial. Ce métier ne sera jamais remplacé.
Ce qui est intéressant c’est de pouvoir vendre dans des domaines complètement différents. Il y a vraiment une possibilité d’évoluer et on ne s’ennuie jamais !
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Je suis une vraie pipelette, être commercial c’est un tempérament. À chaque fois que j’ai obtenu un poste c’était un peu par hasard, par exemple quand je suis arrivée dans le domaine de la communication presse, je n’y connaissais rien mais si j’ai été prise c’était grâce à mon discours.
J’ai donc aussi accepté de redescendre et de devoir réapprendre dans un domaine.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
Au départ, j’aimais beaucoup le « sourcing », le fait de devoir enquêter, chercher de l’information, débroussailler des infos pour débusquer le bon candidat pour le poste qui recrute !
Mais le côté relationnel me tient aussi beaucoup à cœur, la rencontre avec les candidats. On est amené à créer du lien avec les candidats que l’on coach, ainsi qu’avec les clients que l’on suit. C’est quelque chose de très gratifiant ! J’aime aussi beaucoup découvrir les projets des clients. Je découvre aussi des nouveaux métiers, des nouvelles organisations et des nouveaux secteurs d’activités.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Je souhaite leur apporter un éclairage sur un métier qui recrute. Beaucoup de jeunes diplômé.es commencent dans le recrutement, les besoins sont très importants !
Par ailleurs, le secteur de l’Intérêt Général (social, santé etc) va aussi beaucoup recruter dans les années à venir. Je pourrais communiquer aux jeunes des informations à ce propos.
Je pourrais également faire bénéficier les jeunes de mes conseils en préparation d’entretien ou de stages (posture, rédaction CV etc)
J’aimerais aussi partager mon expérience et mon parcours qui, initialement, ne devait pas me mener au métier que j’exerce aujourd’hui ! Ce ne sont pas les diplômes et les études qui déterminent le projet professionnel.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Avant ce poste, je ne connaissais absolument rien au recrutement avant d’intégrer le cabinet ! Ce sont mes stages et mon expérience, davantage que mes diplômes, qui m’ont forgée aujourd’hui.
Tous mes collègues et moi-même (même mon directeur) sommes arrivés dans ce cabinet de recrutement par hasard !
Nous avons tous des parcours très différents mais ces expériences nous enrichissent et nous servent au quotidien dans notre métier actuel.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
Dans mon métier, on s’ennuie rarement car on change régulièrement d’interlocuteurs. On apprend beaucoup, on progresse très vite mais c’est un environnement particulièrement exigeant. Rares sont les personnes qui font toute leur carrière dans le conseil, quand on sort de ce domaine, beaucoup de portes nous sont ouvertes dans des secteurs différents car selon les clients que nous avons rencontré, nous pouvons acquérir de nombreuses compétences qui nous laissent un champ d’horizon très large.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai grandi dans un quartier populaire et c’est une des raisons pour lesquelles je me suis inscrit sur JobIRL. Je sais que de nombreux jeunes n’ont pas les codes sociaux et ne parviennent pas à s’adapter au monde professionnel dans lequel ils arrivent. J’ai vécu la même chose et je peux donc en parler avec eux et leur donner des conseils sur le fait de subir le syndrome de l’imposteur.
J’ai fait un bac économique, puis une classe préparatoire aux concours des grandes écoles, je suis ensuite rentré en école de commerce. Il faut savoir tirer le maximum de profit de l’école de commerce, ce qui est parfois délicat.
Au-delà de mon parcours académique, j’ai beaucoup travaillé en banque et en finance, j’ai travaillé dans un fond d’investissement en Suisse, je suis donc bien placé pour parler du domaine de la finance. Je connais aussi très bien le monde du luxe car j’y ai travaillé durant un an.
Je travaille aujourd’hui dans un cabinet de conseil sur la transformation digitale. Aujourd’hui par exemple je travaille sur la refonte de la partie numérique de pôle emploi.
- une formation ingénieur en 5 ans après le BAC
- une école spécialisée sur les cinq secteurs des transports : aéronautique, automobile, naval, spatial et transports guidés et ferroviaires
- deux établissements : ESTACA Paris-Saclay à Montigny-le-Bretonneux et ESTACA Campus-Ouest à Laval en Mayenne
- un enseignement personnalisé et de haut niveau qui répond aux besoins des entreprises
- des équipes de recherche qui disposent d’équipements de haute technologie
- une expérience internationale obligatoire
- un diplôme habilité par la Commission des Titres d’Ingénieurs depuis 1986
- ESTACA reconnue comme institution d’intérêt général ayant obtenu le label EESPIG
- de nombreux partenaires locaux & industriels prestigieux
- une association de parents d’élèves associée à la vie de l’école.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime ne pas faire la même chose tous les jours. Mon métier est ouvert à la recherche et au développement ainsi qu’à la curiosité. J’aime construire des projets innovants et nouveaux. Je travaille dans un domaine d’activité très large, on y retrouve des commerciaux, des ingénieurs, des assureurs etc. Mon métier va du CAP jusqu’au Doctorat, nous n’aurons juste pas les mêmes compétences et les mêmes responsabilités.
On intervient dans les centres commerciaux, les centrales nucléaires, les voitures, les maisons etc. C’est un métier qui intervient partout et tous les jours, on le côtoie tous les jours sans le voir.
Exemple de mes actions : conditionnement des blocs opératoires dans les hôpitaux, maintenir le vaccin du covid à basse température etc.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai grandi dans un quartier populaire, alors je sais d’où je viens et je sais où je vais. Il faut croire en ses rêves et mettre son projet de vie avant l’argent. L’argent ne doit plus être l’unique moteur dans sa vie. Vous prenez 2 jeunes : tu donnes à un une idée et à l’autre 1 million d’euros, tu reviens 10 ans plus tard, le premier aura réussi à concrétiser son projet et l’autre aura seulement dilapidé tout son argent.
J’ai fait un bac pro, ensuite un CAP/BEP, j’ai passé un DUG d’histoire (pour le fun), j’ai passé un BTS informatique puis j’ai passé un diplôme au CNAM.
Je suis aussi président d’une association “Déclic du citoyen”, son objectif est d’accompagner les jeunes en recherche de stage, faire découvrir des métiers…
Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
À 14 ans, j’ai rencontré une personne qui m’a expliqué son métier, il m’a dit que c’était un métier d’avenir. On a ensuite parlé d’avenir, d’orientation, il m’a expliqué quelles formations il fallait suivre pour faire ce métier et c’est ce que je fais, et voilà aujourd’hui pourquoi j’exerce ce métier.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime la composante humaine, travailler avec les autres. J’aime aussi l’aspect technique : prise de sang, médicaments etc, c’est très intéressant. Et enfin j’aime l’autonomie car on fait nos propres diagnostiques, on fait des entretiens, ce sont vraiment ces 3 composantes qui me plaisent.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai fait une première année de PACES, j’ai été placé en Kiné mais ça ne me plaisait pas donc je suis parti et je me suis réorienté en infirmier. Pendant mon année de PACES j’ai aussi validé une année de biologie.
Maintenant que j’ai mon diplôme d’infirmier, j’ai choisi de continuer à me spécialiser en Science infirmière, c’est un parcours de chercheur.
Je peux donc parler des études de médecine avec les jeunes mais aussi du métier de sapeur pompier ou encore de la recherche.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Avant je voulais être sapeur-pompier, j’ai donc fait ça pendant 6 ans. J’ai vu ce qu’on faisait au SMUR et j’ai donc décidé de faire médecine pour travailler aux urgences, et puis finalement je suis infirmier.
Spécialiste en aérodynamique et propulsion pour le secteur aérospatial
Spécialiste de la gestion de la recherche en milieu industriel
Promoteur des métiers techniques et de l’ingénieur, en particulier
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime concevoir puis voir voler ce qu’on a réalisé.
Que pouvez vous apporter aux jeunes ?
Rendre aux jeunes l’expérience acquise par ma formation acquise en France
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’ai une grande mobilité géographique et fonctionnelle, c’est à dire que mon métier est très varié et je vais être amené à travailler sur de la technique en maintenance de système mais aussi dans l’encadrement ou du tutorat, ou encore de l’expertise soit française, soit internationale. J’aime donc la diversité dans mon métier et ne pas faire toujours la même chose.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Mon parcours est très linéaire, j’ai fait deux années de classe préparatoire aux grandes écoles puis 3 ans en école d’ingénieur. Je connais très bien tout ce qui est lié à l’aviation civile et militaire, c’est un domaine bien plus vaste que ce que l’on pense.
Dans mon métier je suis aussi amené à développer des projets informatiques, ça intègre donc une fibre numérique et technique à mon métier.
Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
C’est une passion qui m’a prise à un forum des métiers au collège, j’ai ensuite fait un stage qui m’a passionné et je me suis donc orienté vers ce domaine.
“Il faut tenter sa chance !”
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’ai toujours aimé les questions techniques, en relation avec les clients. J’ai commencé à faire du support technique et j’ai changé plusieurs fois de domaines de compétences mais j’ai toujours été dans le service du support client. J’ai donc toujours été en contact avec les clients et c’est ce que j’aime dans mon métier. Mon travail est vraiment de comprendre le problème des clients mais ce n’est pas moi qui vais chercher les solutions.
J’aime aussi devoir voyager pour mon métier, cela implique le fait de bien savoir parler anglais.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai fait l’INSA Toulouse, qui est donc une école d’ingénieur. J’ai un diplôme d’ingénieur mais ce que j’ai appris à l’école n’est pas ce sur quoi je travaille aujourd’hui directement.
J’ai travaillé dans les composants électroniques comme les microprocesseurs, les cartes SIM, les cartes bancaires, les systèmes de test pour les cartes à puce, j’ai aussi travaillé dans les systèmes de sécurité d’internet des objets et plus récemment je travaille dans des lecteurs d’empreintes.
Je peux parler avec les jeunes de leurs entrées en stage mais aussi comment préparer un bon entretien.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Lors de mon premier entretien d’embauche, je devais parler anglais avec le chef en entreprise. Je n’y étais pas préparé, je ne parlais pas bien anglais à l’époque, mais il a fallu y aller.
La première fois que j’ai eu une formation aux Etats-Unis, il y avait écrit sur le bilan de ma formation : Il a vraiment l’air de savoir de quoi il parle mais on ne comprend rien à ce qu’il raconte.
En fait, il ne faut pas se dégonfler et tenter sa chance, il faut oser.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
L’innovation, l’esprit pionnier. Il faut se réinventer pour aller chercher de nouvelles sources d’énergie et réfléchir au coût, à de nouvelles solutions pour les exploiter et répondre aux enjeux de demain (notamment environnementaux).
Le partage au sein des équipes, la solidarité lorsqu’on mène des grands projets en équipe. Les réalisations, dans l’énergie, sont parfois de grande envergure et réunissent de nombreuses équipes, de nombreuses entreprises !
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Je souhaite transmettre aux jeunes l’envie de participer au progrès de la société. L’énergie, c’est un secteur fondamental pour l’évolution de la société, de certains pays qui n’y ont pas encore accès… c’est donc un secteur riche de sens.
J’aimerais aussi promouvoir l’idée de l’entreprise et de l’entrepreneuriat, comme un collectif où on réalise de grands projets du début à la fin.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
J’ai travaillé à l’étranger au Congo-Brazzaville sur des plateformes pétrolières.
J’ai découvert un nouvel environnement culturel et social et ait dû m’y adapter. J’ai été très séduit par l’aspect humain et très riche de toutes les rencontres que j’ai pu faire là-bas. J’ai également pu découvrir une nature, un environnement très différent de ce que je connaissais et en suis sorti beaucoup enrichi.
J’aime aider une entreprise avec mes compétences.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime aider une entreprise avec mes compétences.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Avez-vous une anecdote mémorable a partager ?
Deux fois j’ai eu « la chance », d’avoir 9 mois de recouvrement avec la personne que je devais remplacer. Une fois la direction qui m’avait embauché pour cette tâche a supprimé le poste, devant faire des réductions d’effectif. Pénible! Une fois cela s’est tellement bien passé, confiance totale, même vue sur les solutions,… que la personne est partie au bout de 4 mois
30 ans d’expérience dans le secteur de la santé avec GE Healthcare
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Compétences :
Domaine :
Expérience multiculturelle et mondiale:
– Interaction quotidienne avec des équipes distantes aux États-Unis, en Inde, en Chine et en Hongrie
– Partenaires internationaux
– A vécu au Royaume-Uni
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime réfléchir à des solutions, répondre à des questions techniques pour satisfaire mes clients. C’est un vrai travail intellectuel, j’ai l’impression de résoudre des énigmes. J’aime beaucoup la programmation informatique, c’est un métier artisanal et intellectuel à la fois. Nous concevons de nouvelles solutions, en utilisant à la fois notre créativité et notre rigueur mathématique.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Il faut vraiment croire en ses rêves et en ses capacités, c’est avant tout ce que j’ai envie de dire aux jeunes. J’ai aussi envie de faire découvrir le monde du numérique, c’est souvent un domaine très mal compris des jeunes alors qu’il propose de nombreux métiers d’avenir !
Je peux expliquer plus en détail mon métier de développeuse de logiciel, et les autres métiers qu’on retrouve dans ce secteur là.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Avec mon expérience dans le numérique, tant de portes se sont ouvertes ! J’ai arrêté le numérique pendant 4 ans. Lorsque l’entreprise dans laquelle je travaille aujourd’hui a proposé des nouveaux emplois, il ont fait appel à moi. Trois directeurs m’ont reçue et ce n’était pas un entretien d’embauche durant lequel j’ai eu besoin de me vendre. Au contraire, ils ont chacun essayé de me vendre au mieux le poste qu’ils proposaient et je n’ai eu qu’à choisir celui qui m’intéressait le plus !
A 3iS, notre mission est d’ouvrir les portes d’un métier d’avenir pour chacun. Pour tenir cette promesse, nous donnons à chacun de nos candidats les clés pour exceller. Cela passe par l’accès à des équipements de pointe, une capacité à concevoir des programmes de formation « agiles » et « sur mesure » adaptés en tout point aux besoins et attentes du marché. Un savoir-faire unique développé grâce à une écoute des métiers et une implication étroite du monde professionnel dans le parcours pédagogique.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime beaucoup mon autonomie, ma capacité d’initiative, la confiance accordée aux autres, la relation humaine, le travail d’équipe, la relation personnelle humaine avec les clients.
J’aime que nous ayons des équipes à taille humaine, tout le monde se connaît et personne n’est un numéro.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai envie de faire connaître les métiers du BTP, donner confiance aux jeunes et déconstruire l’image qu’ils peuvent avoir de ce secteur-là. C’est un domaine qui recrute, il y a des belles carrières possibles avec parfois des salaires élevés, on peut évoluer professionnellement dans ce secteur.
Il y a de nombreux métiers techniques : Electricité, chauffage, plomberie, la menuiserie, serrurerie, la couverture, qui font que ce secteur fonctionne. On emploie plus de 1000 personnes en Ile de France.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
Je suis avant tout passionnée par l’économie et j’aime transmettre cette passion-là à mes
élèves. J’aime aussi faciliter l’orientation, aider les jeunes à mieux s’orienter (sur Parcoursup
notamment). Je fais de l’accompagnement sur mesure via la structure que j’ai créée.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Mes conseils pour leur orientation scolaire et notamment relatifs à la plateforme Parcoursup
Des conseils relatifs aux classes préparatoires
Les faire bénéficier de mon réseau professionnel, de mes connaissances et de mes relations pour les aider à entrer en contact avec des professionnel.les qui pourraient les aiguiller au mieux.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Dans mon parcours professionnel, je n’ai pas hésité à innover. J’aurais pu rester professeure, cantonner à ma salle de classe, mais j’ai choisi d’exercer énormément d’autres activités en parallèle.
Il y a 10 ans, j’ai quitté un très bon poste dans ma discipline, je suis partie dans l’Académie de Bourgogne pour gérer 200 professeurs de l’Académie, ouvrir mes compétences et mes horizons professionnels.
“On peut toujours rebondir dans la vie, évoluer, malgré sa formation de départ, tout ne se joue pas pendant les études.”
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime tout dans mon métier. J’ai une autonomie dans la réalisation de mon travail, en quelque sorte je fais ce que je veux, j’aime donc le fait de ne pas être surveillé et contrôlé constamment. Cela impose d’être disponible, mais ce n’est pas mon chef qui décide de ce que je vais faire.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Il faut comprendre que peu importe la formation de départ, il y a une évolution de carrières, malgré le cursus suivi (avec ou sans bac). Chez la SNCF cette évolution de carrière est vraiment possible, on propose des formations internes et externes. Cette évolution de carrière implique donc une augmentation de salaire au fur et à mesure.
J’ai fait un bac+2 en électro tech, je ne voulais pas faire une formation d’ingénieur et je n’avais pas les compétences pour pouvoir en faire une.
Tout le monde peut gagner en compétence et peu importe la formation de départ, c’est le plus important à retenir.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Je suis rentré à la SNCF et mon père était cheminot donc je ne voulais pas du tout faire comme lui. J’ai fait mon service militaire dans une entreprise d’informatique et lorsque j’ai fini mon service militaire, l’entreprise dans laquelle j’étais ne me proposait pas un poste qui m’intéressait.
À l’époque il n’y avait pas beaucoup d’emplois, j’ai postulé dans de nombreux postes dont la SNCF et c’est donc un peu par inadvertance que j’y suis allé.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime le sens de mon métier : réduire l’impact sur la santé des personnes des produits chimiques. Mon but est d’améliorer la situation et résoudre des problèmes, je veux que le monde soit moins pollué. Je cherche donc à améliorer la société dans laquelle nous vivons. Je veux faire prendre conscience de l’importance de ces sujets-là.
Il y a aussi une fibre innovante dans mon métier puisqu’il faut chercher une solution et aider les personnes à trouver un produit moins dangereux.
Nous pourrons observer les résultats de mon travail seulement dans 3-5 ans.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
J’ai un parcours d’ingénieur, assez technique avec une composante biologique puisque j’aimais les sujets reliés à la santé. J’ai donc fait une classe préparatoire pour ensuite rentrer en école d’ingénieur, je suis partie ensuite en recherche parce que j’étais très intéressée par les matériaux, j’ai donc fini par faire une thèse.
À l’époque, c’était compliqué pour une femme de trouver un travail dans ce domaine-là.
Aujourd’hui il y a beaucoup plus de possibilités et on peut exercer mon métier sans avoir suivi tout mon parcours.
Je suis partie dans ce métier car ce qui me plaisait c’était l’impact environnemental, réfléchir à des solutions pour faire avancer la société. C’est un métier passionnant qui mélange plusieurs aspects : enquête, découverte et communication.
Il ne faut pas avoir peur du monde de l’industrie.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Lorsque j’étais jeune ingénieur développement, je devais découvrir des nouveaux produits. Un jour, à Paris, je reçois un coup de fil d’un homme qui avait un accent abominable et qui voulait absolument venir rencontrer quelqu’un dans ma société, en recherche. J’ai cru que c’était un touriste perdu et j’ai donc essayé de l’aider pour s’orienter. Il parvient finalement à arriver. J’étais pratiquement seule, et le temps qu’il arrive j’ai cherché une personne avec qui je pourrais le recevoir. Un directeur de recherche était là et a accepté de le recevoir.
On reçoit donc un homme qui nous présente une toute petite batterie cylindrique, il arrivait de l’université de Pékin et il avait besoin d’un de nos produits pour continuer à créer sa batterie.
Un an après, j’ai appris qu’il nous avait demandé une dizaine de fois l’échantillon du produit que nous lui avions vendu. Un chercheur de notre société est allé le voir pour savoir ce qu’il créait et il s’est avéré que cet homme était le directeur de BYD.
Il croyait en ses rêves et il est venu jusqu’en France juste pour avoir un produit, j’aurais pu ne pas le recevoir mais je l’ai écouté et aujourd’hui un des plus gros fournisseurs de BYD est donc un fournisseur français.
- Qu’aimez-vous dans votre métier?
J’aime être au contact des opérationnels afin de me garantir que tout se passe bien et résoudre des problèmes humains et sociaux. Je mets en place des mécanismes et j’apporte du support aux opérationnels pour être sûr que tout se passe bien.
- Que pouvez-vous apporter aux jeunes ?
Je travaille dans un secteur qui recrute énormément, notamment dans les postes de commerciaux, techniciens, apprentis commerciaux.
Je viens d’un contrat d’apprentissage, j’ai repris mes études après en alternance chez Loxam, on développe de plus en plus l’alternance.
Je voudrais pousser les jeunes à faire de l’alternance qui est la meilleure manière de s’intégrer rapidement dans le monde professionnel.
- Avez-vous une anecdote mémorable à partager sur votre parcours ?
Il y a 10 ans, j’ouvrais des portes pour les gens. Aujourd’hui, je suis responsable de Ressources Humaines dans une grande entreprise où je gère des problématiques humaines.
Il faut savoir saisir sa chance et être confiant ! On peut toujours rebondir et il n’y a pas de fatalité.